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Le CHR Metz Thionville des abuseurs

Je me trouvais sur la pelouse d'un trottoir dans un village déserté de France, dans le 57. Je me réjouissais, seule, quand tout à coup, tout a basculé. Je fus arrêtée par les pompiers, internée sans raisons sur la base de fausses déclarations. Un cauchemar qui dura plus d'un mois, durant lequel je fus forcée à prendre de lourds médicaments, et longtemps interdite de sortie. Il me reprochaient d'être mystique ou religieuse, de rire, de ne pas être claire dans mes dicours, de m'inquièter pour la vie de mes proches dans un cadre où en étant en contact avec des gens dangereux, j'ai du m'exiler en France depuis la Belgique. Ils n'ont pas hésité à chercher le moyen de me ruïner en envoyant une facture de 6.000 EUR un an et demie après l'internemment, alors qu'en plus d'avoir déclaré que tout était en ordre financièrement pour les frais d'hospitalisation vers la fin de mon internement, ils m'avaient déjà envoyés une facture de 80 EUR un mois après la délivrance de leurs services imposés.

Ils ont été jusqu'à pousser l'abus psychologique à me déclarer folle à vie, m'envoyant de retour en Belgique, libre, car là, aucun hôpital ne souhaitait m'interner. Je fus néanmoins forcée aux médicaments abrutissants sous peine de nouvel internement. Cet internement fut suivi d'une incapacité de travail non rémunérée due aux effets néfastes physiques des médicaments.

Désir de ruïne, de remplir les lits d'hôpitaux, attitude anti-chrétienne ou franc-maconnerie? Les motivations quant à la mauvaise foi des psychiatres de cet hôpital se dessinneront dans la suite des événements.

Un envoi recommandé leur a été envoyé avec demande de réparation d'un montant double de celui qu'ils m'ont réclamés. J'attends leur réponse, et vous faites-vous partie de leur victime?

Photo prise depuis le site


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